Jean-Mathieu adore son travail et ne le remplacerait pour rien d’autre. Il y a tout de même de moins bons côtés à pratiquer le métier de courtier hypothécaire.
1- Les heures de travail
En tant que travailleur autonome et propriétaire du cabinet, Jean-Mathieu fait énormément d’heures de travail par semaine. Son horaire est généralement de 10h00 à 22h00, avec une pause de 30 à 45 minutes pour manger. Il suit cet horaire de 6 à 7 jours par semaine. Il ne faut pas compter son temps, sinon cela peut devenir décourageant!
2- La disponibilité
Ce point ne le dérange pas personnellement, mais pour certaines personnes cela peut être un gros désavantage. En effet, un courtier se doit d’être toujours disponible pour offrir le meilleur service possible, même sur demande. Quand un client a une question, une inquiétude ou un changement, il est important que Jean-Mathieu soit là pour y répondre. Même si on est dimanche après-midi. Même si c’est vendredi soir. Ce n’est pas possible pour un courtier de quitter à 17 h le vendredi en disant « bonsoir, on se revoit lundi matin ». Ainsi, un courtier travaille même la fin de semaine!
3- L’attachement émotionnel
C’est le plus gros point pour Jean-Mathieu. Comme courtier, Jean-Mathieu fait tout ce qu’il peut pour aider ses clients et leur apporter des bonnes nouvelles concernant leur dossier financier. Cependant, il arrive parfois qu’il n’ait pas de solution miracle pour ceux-ci. Cela lui fend le coeur de devoir annoncer qu’un dossier ne fonctionne pas. Particulièrement lorsqu’il travaille avec le client depuis un moment et qu’il sait toute l’émotion et la misère que cela peut lui causer. Un courtier doit donc se faire une carapace vis-à-vis de ses clients. L’objectif est d’être en contrôle de ses émotions et de rester professionnel quand des événements de la sorte se produisent.
Au final, malgré les moins bons côtés du métier de courtier hypothécaire énumérées ci-haut, Jean-Mathieu se concentre sur les aspects positifs de son travail!